Benjamin est un prénom empli de sens puisqu'il signifie "fils de la main droite" : le côté de la chance, de la bonne augure. De là à dire que je suis un photographe porte-bonheur, il n’y a qu’un pas !
Si j’ai suivi cette voie, c’est pour me mettre au service de votre histoire, la retransmettre avec la spontanéité qui me définit. J’aime cette approche photographique du reportage de mariage qui me fait courir partout, capter des instants inattendus, sans négliger les moments plus calmes et solennels, qui auront toute leur place dans l’album final.
Alsacien expatrié à Paris depuis quelques années, j'entre dans la trentaine tout en gardant ma soif d'apprendre, un désir permanent de nouveauté, bouillonnant de créativité.
Avant de me consacrer à la photo, je suis passé par l’univers du Cinéma. J’ai étudié à l’Université de Strasbourg avant d’intégrer une école technique qui m’a permis de travailler sur des plateaux de tournage. Ma passion pour l’image découlait donc avant tout du 7ème Art et ce, jusqu’à ce que la photo se décide à se mettre en travers de mon chemin et s’impose naturellement dans ma vie.
Un plateau de tournage est similaire à une fourmilière, grouillant de monde, débordant d’énergie, croisant les travaux de nombreuses équipes. Il est facile de se retrouver submergé au milieu de tous les techniciens de plateau et des artistes... Le travail photographique, lui, tend à être beaucoup plus intime avec un rapport direct à une créativité infinie.
En me tournant vers la photo j’ai trouvé le juste équilibre entre ma passion pour le cinéma, la technique de prise de vue, mon envie d'indépendance, le tout couplé à une envie d'évasion par le voyage à la découverte de nos belles régions françaises... et pourquoi pas au-delà !
J’aime le cinéma, les chats, les spécialités régionales, le vin rouge, le fromage, le café, visiter les villes françaises, les randonnées, la musculation, les chats.
Très attaché à notre patrimoine français, ainsi qu'à notre culture et notre terroir, je consomme français autant que je le peux, afin de préserver le plus possible notre industrie locale.
"J’aime ce pays, et j’aime y vivre parce que j’y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et à ce qu’on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions locales, aux intonations des paysans, aux odeurs du sol, des villages et de l’air lui-même."
Guy de Maupassant - Le Horla
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